7, comme les Nains

Je me souviens de mon septième anniversaire. C'était une grosse "boum" avec mes copains et mes copines. Ah, qu'est ce que nous nous étions marrés. Des jeux rigolos, une grosse ambiance sur "La fête au village" des Musclés, le 33 tours de Henri Dès "La Glace au citron" qui tourne sur la platine vinyle. Ah là là, quelle rigolade sur "Boum badaboum" quand-même. Que voulez-vous, c'était la bonne époque, bien que le mur de Berlin ne tombera que 8 mois plus tard.

Ah merde, en vérité je n'ai absolument aucune idée de la manière dont j'ai célébré mes 7 piges en 1989. J'ai beau froncer les sourcils et réfléchir à m'en faire fumer les oreilles, je ne sais plus. Je ne me souviens même plus trop où j'habitais, sachant que c'est la période où mes parents ont pas mal déménagé. Bref, on s'en moque. En fait c'était pour faire une introduction rigolote mais lourde, comme vous en avez l'habitude désormais.

Sept ans, ça fait beaucoup. Brad Pitt en fera un film de vacances d'ailleurs. De son passage au Tibet ? Hein ? Ce n'était pas un documentaire ? Mince. De toute façon je ne l'ai pas vu moi ce film. Donc, comment dire, pas de gros changement à venir. Le rythme est bien trouvé, et me convient. J'espère que vous aussi, sinon c'est triste. Le blog va peut-être changer de peau, comme chaque année, je ne sais pas en fait. Vous verrez bien.

J'ai quelque peu délaissé le jeu vidéo, car écrire des chroniques dessus est très difficile je trouve. Puis je ne joue plus autant qu'avant. Pourtant, ce n'est pas le nombre de jeux qui manque. Oh ça non. Le cinéma restant, pour moi, la chose la plus facile sur laquelle écrire. Même la musique, pourtant plus vite écoutée, j'ai des difficultés. J'espère que les vilaines fautes d'orthographe ne sautent pas trop aux yeux, ou que vous arrivez à les tolérer.

Il y aura probablement un petit concours, ou un truc du genre, avec des choses à gagner. En espérant que ça ne flop pas comme la fois dernière. Mais promis, ce sera plus facile. Donc putassier. Il suffira de "follower" et retweeter un tweet (punaise, la phrase ne veut rien dire), et voilà. Je n'aime pas trop cette méthode car elle impose de suivre le compte Twitter. Et je nomme ça "l'achat de follower", mais c'est tellement simple à mettre en place. Sur ce, voici une bien belle tarte, déjà mangée à l'heure où vous lirez ces lignes. C'était donc pour dire rien du tout. Juste marquer le coup. En fait c'est peut-être ce qui est arrivé lors mon septième anniversaire...

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